Aujourd’hui je vous emmène dans les souterrains de Lyon. Les souterrains Lyon sont très nombreux. Années après années, de nombreuses entrées ont été découvertes mais seules certaines d’entre elles n’ont pas été condamnées. Ce réseau vaste et disparate passionne depuis des générations.
L’un des plus amblématique est sans nul doute le réseau des Arêtes de Poisson qui a déchaîné les passions à de nombreuses occasions. De manière non exhautive, il existe aussi d’autre réseau : la galerie Adamoli, le réseau des fantasques, la galerie Montée du Boulevard, le souterrain de la montée Bonafous, la galerie de la Place Bertone, la galerie du cours d’Herbouville, la galerie Saint-Eucher, la galerie de la Tourette, la galerie des Chartreux, la galerie du jardin des Plantes, la galerie Burdeau, le réseau Imbert-Colmès, la galerie Neyret, la galerie des Carmélides, les souterrains du parc Chazière, les galleries de l’amphithéâtre de Fourvière, le souterrain de la montée du chemin neuf, la gallerie du funiculaire désaffecté de Fourvière, la galerie St Irénée, le souterrain du Rosaire, etc.
Comme je vous disais, le plus mystérieux est sans doute le réseau des Arêtes de Poisson. Ses origines sont floues. Plusieurs hypothèses existes. Une première hypothèse serait que ce sont des tunnels pour accéder à la citadelle royale construite à la fin du XVIe siècle.
Une seconde hypothèse pense qu’il s’agirait d’un entrepôt de stockage du trésor des Templiers. Elles auraient alors été construite au 7e siècle et se seraient étendues jusqu’à Miribel via les Sarrazinières pour déboucher sur les terres de Sire Guillaume de Beaujeu à la Croix Rousse. De nombreux ossement humains ont été découverts dans l’une des galeries de arêtes de poisson. Selon un rapport, 4 à 5 mètres cube d’ossements auraient été retrouvés en 1959.
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